Depuis son repositionnement par Luis Enrique, qui l’a replacé dans une zone plus axiale la saison passée, Dembélé a connu une ascension fulgurante : 35 buts, 16 passes décisives et une Ligue des champions remportée. Cette performance XXL, combinée au prestige de son Ballon d’Or, a naturellement déclenché un véritable appel d’air commercial.
Dès lors, les propositions de partenariats affluent. Mais l’international français ne veut pas “se vendre à tout prix”. Comme le révèle L’Équipe, surnommé « Dembouz », il refuse plusieurs offres qu’il juge en inadéquation avec son identité, notamment dans l’électroménager. Un choix assumé, qui montre sa volonté de maîtriser son branding personnel et d’éviter la surexposition.
À ce jour, Adidas reste son seul sponsor majeur, mais les discussions avancent avec la maison italienne Zegna, symbole de luxe et d’élégance. Admirateur de la marque, Dembélé confie qu’avec Zegna, il ne se “travestirait pas” – une remarque relayée par L’Équipe, illustrant sa volonté de s’associer uniquement à des univers haut de gamme cohérents avec sa nouvelle stature internationale.
Et ce n’est pas tout. Sur le segment premium, l’attaquant attire aussi l’attention des horlogers, sur les traces d’un certain Kylian Mbappé avec Hublot. L’horlogerie de luxe, un marché qui pèse plusieurs milliards, constitue un levier idéal pour renforcer sa présence sur un positionnement premium aux fortes marges marketing.
Ousmane Dembélé adopte une stratégie qui va à contre-courant du réflexe “post-Ballon d’Or” où de nombreux joueurs acceptent tous les contrats dans un horizon court. Son choix ressemble davantage à la construction d’une marque personnelle long terme orientée vers le luxe, l’exclusivité et la rareté, trois moteurs puissants de valorisation.
Cette approche sélective pourrait faire exploser la valeur de son image : moins de partenariats, mais plus d’impact, plus de capital marque, et surtout, une cohérence premium.
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