Le transfert de Pavard à l’OM se concrétise sous la forme d’un prêt payant d’une saison, d’un montant de 2,5 millions d’euros, avec une option d’achat fixée entre 15 et 16 millions d’euros. Cette structure permet au club de sécuriser les services d’un joueur de qualité tout en évaluant son intégration avant de prendre une décision définitive.
Le salaire de Pavard, estimé à 660 000 € mensuels à l’Inter Milan, soit environ 7,92 millions d’euros annuels, est intégralement couvert par l’OM. Cette prise en charge complète du salaire est rendue possible par la libération de fonds suite au départ d’Adrien Rabiot, dont le salaire élevé pesait sur la masse salariale du club.
L’option d’achat non obligatoire offre à l’OM une flexibilité financière importante. Si le club décide de lever cette option, il s’engage dans un investissement conséquent, mais justifiable par les retours attendus : amélioration de la performance sportive, augmentation de la visibilité internationale et renforcement de l’attractivité pour les sponsors.
Le retour de Pavard en Ligue 1, un championnat qu’il connaît bien, et son expérience au plus haut niveau avec l’équipe de France et en clubs européens majeurs, devraient également contribuer à augmenter les recettes liées aux droits de diffusion, à la billetterie et au merchandising.
Le transfert de Benjamin Pavard à l’Olympique de Marseille illustre une gestion financière astucieuse : un prêt payant avec une option d’achat flexible et un salaire couvert, permettant au club de renforcer son effectif sans compromettre sa stabilité économique. Cette opération démontre également l’importance de la gestion de la masse salariale et de l’optimisation des ressources dans un contexte économique exigeant pour les clubs de Ligue 1.
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